Linda S. Pagani

Professeure titulaire
École de psychoéducation
Université de Montréal

Linda S. Pagani est professeure titulaire à l’École de psychoéducation de l’Univeristé de Montréal.

Elle s’occupe de cinq créneaux en santé du cerveau, toujours avec une perspective longitudinale :

1. Les risques bio-psycho-sociaux associés avec une surexposition à la télévision en bas âge (2 à 5 ans);

2. Les risques bio-psycho-sociaux associés avec l’exposition à la fumée secondaire en bas âge;

3. La maturité scolaire et sa relation avec le bien-être bio-psycho-social chez les jeunes à long-terme;

4. L’influence de l’activité physique sur le bien-être bio-psycho-social chez les jeunes à long-terme;

5. Les processus et enjeux multidisciplinaires reliés à l’évaluation fonctionnelle et le suivi clinique du trouble du déficit de l’attention avec/sans hyperactivité (TDAH) chez les enfants, les adolescents et les adultes.

Elle offre également des formations continues ponctuelles pour chercheurs, cliniciens et étudiants aux études supérieures sur (1) l’évaluation fonctionnelle et le suivi clinique du trouble du déficit de l’attention avec/sans hyperactivité, selon les lignes directrices nationales cliniques fournies par la CADDRA et (2) la rédaction efficace d’articles scientifiques (en anglais) pour des revues APA et AMA pour chercheurs francophones et (3) les relations entre la recherche et les médias.

Ses efforts en tant que professeure en psychoéducation et chercheuse au Groupe de recherche sur les environnements scolaires (GRES) ont pour but d’influencer les politiques sociales et de santé auprès des enfants. À cet effet, sa plus grande préoccupation est la préparation à l’école et la persévérance scolaire chez les jeunes. Elle est surtout captivée par les facteurs influençant l’engagement scolaire chez les élèves au primaire et au secondaire. Étant également membre-chercheuse au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, elle s’intéresse aussi au lien entre les habitudes et les contextes de vie (télévisuelles, sportives, les comportements à risque, le tabac, les pratiques parentales, le fonctionnement familial) et la réussite scolaire, de la petite enfance jusqu’à l’adolescence. Entre autres, elle aime étudier les relations entre les conditions et contextes de santé et le développement psychosocial chez l’enfant et l’adolescent. Finalement, elle collabore avec ses collaborateurs chercheurs-cliniciens du Centre de recherche de l’hôpital Sainte-Justine et de l’Université de McGill et des projets sur l’activité physique et la santé bio-psycho-sociale.

 

Ce contenu a été mis à jour le 4 décembre 2022 à 22 h 25 min.